Après Eurydice, que j’aime, Roméo et Jeannette que j’aime beaucoup moins ; il ne faudrait peut-être pas lire deux Anouilh à la suite. Je note que la première a été écrite en 1941, la seconde en 1945. On serait en droit de s’attendre à quelques allusions glissées au sujet de la guerre, de l’Occupation. Point. Il s’en fout. Mais sans doute qu’un critique habile et en mal de discours ne serait pas en peine d’en dénicher (inventer) quelques unes.

 

12 janvier 2006