Je lis, et ça me ravit. Le cul de Judas est étonnant ; Salazar, la guerre en Angola de 1961 à 1974, j’ignorais tout cela (du moins, la guerre). Un jeune médecin s’y trouve, et raconte. Il y a la guerre, mais aussi Lisbonne, encore. Mylène m’en parlait récemment comme de sa ville, comme Venise l’est pour moi. Depuis, je suis tombé sur le livre de Mercier et aujourd’hui, Antunes. Je lui en offrirai un exemplaire… (Mes lombes m’ont gêné toute la journée d’hier, au point que j’ai craint une rechute.)
25 avril 2015