SEL II

intégral

 

 

fixer trop souvent, crénom de nom d’une pipe, mon regard traînait du côté de ses jolies jambes trop croisées sur le tabouret et sans l’entendre, l’homme, mais pas celui dont elle venait de réussir à clouer le bec, l’autre homme, celui que, nom de djan, j’entendais en fond, il, crénom de nœud, me berçait de ses paroles. Aah ! Vous souvenez-vous de l’autre homme ? Comment l’oublier ? Celui-l., nom de dje, je l’appelle « non . » p.rce qu’il retient les sons « . », les occulte et les empêche d’exister d.ns l. convers.tion, au point de rester quelque fois bouche bée comme un .bruti .vant de p.rvenir  . sauter ce son. Ç. rend l. convers.tion pénible. Lui – crénom de nœud – me reproche, et au monde entier, le défaut qu’ont ses environs  de précéder le son « je » de l’expression « nom de dje »,  le son « mon » de « crénom de nom », le son « me » de « crénom de nœud », et ainsi de suite dès qu’il .pproche des environs. C’est ainsi que s’il vient, nom de dje je n’ai p.s le choix, nom de dje je deviens myzaute. .lors myzaute, dev.nt ce type insupport.ble, déj. rendu teigneux, colérique et vindic.tif p.r l’autre, le bell.tre, soi dis.nt maître de l. p.role, myzaut s’est trouvé dépité au moment où c’est .rrivé. C.r le maître de l. p.role . voulu dire : ., mais aucun son n’est sorti. Ce n’était p.s comme myzaut l’.vait souhaité p.rce que myzaut n’en était p.s déb.r.ssé, mais son bec était cloué, c’était bien fait. Du coup, l’autre homme est remonté un t.ntinet d.ns l’estime de myzaut. Non pour longtemps ! C. mom.nt précis fut c.lui qui vit v.nir l. s.ul êtr. au mond. Qu. j’aurais souhaité  n. p.s voir, celui qui m.nge l.s sons « . ». Non, p.s lui ! Ni une ni d.ux, Nom d. Djé, j’ai fait c. qu’il f.llait : ouv.rt l. bouch., .spiré un gr.nd coup pour l’.v.lr. Il . voulu résist.r mais d’un coup d’un trait j. l’ai bouffé, puis vomi, d’un f.meux rot de Stout. Dég.gé, .v.lé l’.v.leur de « e » ! Restait . s’occuper de l’autre. Qui d. nous .llait s’en ch.rger ? P.s moi. « Que voulez-vous que je fasse de ce type ? ai-je dit à la cantonade. Ses sons, il peut bien se les garder, j’en ai déjà bien assez des miens. » « Tyot de mâma », m’a dit mon voisin de tabouret, « so j’ateos è vytra pleca, ja na la prandreos pes è le làgàra. At da qyals suns vuylaz-vuys perlar ? So c’ast da cayx qya vyus eccymylaz, parmattaz-muo da rocenar cer ols na sunt jemeos qya las trecas da vus meleosas onfentolas. » Je l’ai regardé en deux fois tandis qu’il se laissait le temps de souffler ou de rassembler ses pensées. Qu’était-ce ? Ce n’était ;