J’ai déjà dû parler de cette étrange attraction qui fait que je ne puis résister à l’achat d’un film où apparaît Brigitte, quelle qu’en soit la qualité, et a fortiori plusieurs, six en l’occurrence présentés dans un coffret qui se vante de contenir des longs métrages jamais édités en DVD. Il n’y a (j’allais dire « naturellement ») que des nullités. Ça ne m’a pas empêché de le commander, d’avoir été impatient de le recevoir et particulièrement excité lorsqu’il est arrivé. Le coffret est attrayant, c’est déjà ça. J’ai regardé le premier dans l’ordre À cœur joie ; je craignais le pire (voir le livre). Ce n’est pas franchement une nullité, mais ça ne vaut guère mieux. Nous avons beaucoup souri aux inénarrables catastrophes qui émaillent ce scénario affligeant. Mais Brigitte y est somptueuse, et, à ma grande stupéfaction, déjà adulte. Il est de 1967 et je suis étonné qu’elle ait pu « accepter » de se répandre dans ce doux bourbier après avoir tourné avec Godard, Clouzot et Malle. Mais vivement demain pour le suivant…