Je peine à écrire, ai les doigts gelés, il fait froid dans la loggia, bien davantage qu’en décembre. La plage, la digue se chargent de coureurs, de marcheurs, de chars à voile. Il fait beau, c’est jour de repos. Je termine ma cigarette, puis irai faire une promenade en espérant que ça soit bénéfique à mes lombes (à chaque fois que j’écris « bénéfique », je pense à « Benfica »)